Déploiement des robes des démolitions
redevenues semailles bougeuses et lierre
profond qui enserre. La poissonnerie
des étangs fait s’outrepasser et circuler
les eaux où le ciel rôde, talonnée d’oiseaux
où les yeux noient la vue d’un battement de cils,
dont l’envergure pleure un récif d’accalmie
sur quoi bute le pas lauré d’une poussière
d’anciens souvenirs. Une soif s’éclabousse
en steppe de ressacs qui résonnent par trop,
dans la contrée butée sur son bref échouage
briffé sur la blancheur sursaturée d’échos
aux faciès de la vue. Une épaule redresse
son nord dans l’air nu klaxonné de parfums
de basse buée d’astre, et de féminité
décramponnant le jour de son rocher croupi
et stagnant d’aines sèches. Qui accède ici
perd l’entrée effroyable où l’on se sent surgir
écorcé du complot de l’exacte exaction
d’espaces assassins. Rugi de soi par soi,
souplement déplissé et tigré de ses tiges,
qui fuient vers tout autre chose et se rejoint,
se forgeant dans le blanc du feu pour s’engendrer
et froisser une tour dans la rafle du mot
fougère ou fol foyer houleux qui éblouit.