Quand s’ouvrent les abers des cuisses passagères
des femmes qui obligent le chemin contrit,
à faire le gisant, s’ébauchent des hangars
où s’engrangent d’étranges civilisations
fugaces qui se mêlent à la dispersion
des spores des luzernes et des alentours
aux agrestes atours. Un pur tranchant ébauche
une plaie adorable à la vue qui s’éprend
des haies dépoitraillées. On s’outre des écarts
de l’âme écartelée d’un parfum de toison,
en ahan de regard qui hume son attente
à courre, et porte close à des seuils aveuglés
d’un vide sidéral, où cependant le corps
musiqué par l’envie, a vibré comme un sol.